Tableaux

Acrylique sur toile. Offert à Raymond.

Acrylique sur toile. Les carrelets de Fouras.

Triptyque

 

Tout va bien. Pas de souci.

     Nous sommes au début du 20éme siècle. La société fonctionne toujours sur le même schéma  avec ses riches, ses pauvres, ses intelligents, ses idiots, ses exploiteurs et ses exploités.

     En fait si. Un changement. Il va permettre aux riches d’être plus riche et au plus dégourdis de sortir leur nez de leur médiocrité. En effet l’ère industrielle prend son essor. La technologie se développe, l’industrie  modifie l’emploi de ses esclaves. Elle joue avec le feu. Tel le collégien qui tente de mettre le feu au bonhomme de neige avec des allumettes, on commence à jouer avec le briquet susceptible de réchauffer la planète.

Patrick VALETTE 

   Ça ne va pas encore trop mal.

     On est en plein dans ce vingtième siècle de toutes les expansions. Une partie des habitants de la planète meurent de diabète, de cholestérol et de « bouffe trop riche ». Une autre partie « crève de faim ». Les mêmes riches qu’au début du siècle on créés des groupes  internationaux et parlent une langue dont les maîtres  mots sont : exploitation et dividendes. Les mêmes pauvres qu’au début n’ont même plus la force de parler. Certains tentent d’échapper à leur misère en fuyant vers la lumière comme des insectes une nuit d’été.

      Durant ce temps, une foule d’intellectuels, ni trop riche, ni trop pauvre, ni trop intelligent, ni trop con, déclament des idées : Comme renforcer les  frontières ou supprimer l’utilisation des énergies fossiles. Chacun étant sûr de sa solution sans pour autant mettre en perspective tous les paramètres. Chacune de ces propositions sectaires qui sont avancées, si l’on y souscrit,  entrainerons immanquablement plus de misère que de bien. L’idéal serait de mettre « le profit » de côté et de chercher une solution pérenne ensemble en écartant les discours formatés, idéologiques et partisans. Il suffit découter, une idée pourrait surgir. 

Mais attention : AU FEU, la planète à chaud.

Patrick VALETTE 

Acrylique sur toile :

La planète en danger

 Le 21éme siècle est arrivé. L’an 2022 est passé. Tout le monde parle de dérèglement climatique, de réchauffement de la planète. Des conférences mondiales se réunissent. On se congratule pour la réussite de la C.O.B 21 un peu moins pour les COB(s) suivantes. Les Etats-Unis y ont adhérés, puis en sont repartis. (Il est vrai qu’ils avaient élu un président gratiné, sur lequel on peut se poser des questions, le tristement célèbre Donald TRUM). Des pays autoritaires comme La Chine, avec son président Xi  JINPING, trainent des pieds, a l’image de la Russie de Vladimir POUTINE. Des chefs d’états légitimement élus, comme Boris JOHNSON en Grande Bretagne ou Viktor ORBAN en Hongrie ne sont pas plus réceptifs  à ce problème planétaire. Les grands groupes industriels mondiaux se rebiffent prétextant perdre de l’argent. Les autres pays et leur représentant s’agitent, gesticules mais n’avancent à rien. La solution envisagée est de convaincre la fourmi de ne pas utiliser son véhicule et de faire du tri sélectif.  Les petits ruisseaux faisant de grands fleuves ????????

 

En attendant, concrètement, les catastrophes naturelles se multiplient et s’amplifient. Plein de situations  climatiques se dégradent. On commence à remarquer la fonte des glaciers et des banquises. Des espèces animales s’éteignent ou mutent. De fait la planète à toujours connue ces variations de forme  et de température. Certes l’humanité à une part de responsabilité indéniable dans le cadre générale de la pollution et de la rapide dégradation climatique de notre hôte. Mais je ne me fais pas de souci pour la terre. Elle se soigne et se régénère d’elle-même. Elle n’a pas besoin de nous. Elle l’a d’ailleurs prouvé avec l’extinction en masse de grandes espèces dominantes, de changement climatique extrême et de modification géographique.

     Je me fais plutôt du souci pour l’humanité. Nous risquons  de ne pas survivre à l’automédication de notre astre. Elle se traite violement, comme on extirpe un cancer ou la gangrène. Puis après une phase de convalescence elle reprendra le court de son existence protégeant  l’émergence d’une autre espèce.  Où serons-nous, l’espèce la plus intelligente dotée de tous les droits? Où seront les riches, les pauvres, les dominants, les dominés, les exploiteurs et les exploités ?

Patrick VALETTE

Acrylique sur toile modèle. Venise

Huile sur toile. Voilier au large d'Oleron

Acrylique sur toile. Chevaux s'abrevant.

Acrylique sur toile. Chateau Auvergnat.

Photo sur toile. Monique à 20 ans.

Acrylique sur toile. Perroquet. Offert à Monique Gardet

Acrylique sur toile fine a partir tuto youtube